Avec les œuvres de Boris Achour, Francis Alÿs, Silvia Bächli, Robert Barry, Brigitte Chapou, Didier Courbot, Fréderic De Manassein, herman de vries, Robert Filliou, Katsushika Hokusaï, Pierre Huyghe, Jirí Kovanda, Quentin Jouret, Rémi Magnouat, Gianni Motti, Oscar Muñoz, Roman Ondák, Gabriel Orozco, Abraham Poincheval et Laurent Tixador, Benoît Pype, Jean-Jacques Sempé, Eric Watier, William Wegman. Du 24/11/2017 au 24/02/2018 à l’espace Ecureuil, 3 place du Capitole, Toulouse.
Petit retour en images sur cette exposition, composée par Quentin Jouret et restée visible pendant trois mois à Toulouse. J’y étais lié de deux façons : par mes travaux exposés (que Quentin m’a invité à choisir librement) mais aussi plus globalement dans la mesure où le réseau d’artistes et notions proposé s’inscrivait pour partie dans la continuité de celui décrit dans mon mémoire de 2000 sur les interpellants (cité par Quentin dans sa thèse). J’y ai donc retrouvé l’essentiel du champ des interpellants (artistes, notions, auteurs) mêlé à beaucoup d’autres heureuses découvertes qui forment ce nouveau tissage, « l’art de la discrétion ». J’ai pu me rendre à Toulouse à l’invitation de l’université Jean Jaurès qui organisait, à l’initiative de Marie Bouchet et Quentin Jouret, une journée d’étude intitulée The importance of being discreet, discreetness in arts and litterature. Un grand merci à Marie, à l’équipe de l’espace Écureuil, aux chercheurs, artistes et autres personnes rencontrées pour nos échanges, ainsi qu’à Quentin !
J’ajoute ci-dessous les reproductions de deux articles, la photo d’un morceau de je-ne-sais-quoi que j’ai déplacé au sol en écoutant la visite guidée et celle d’un détail de la baignoire de l’hôtel…
Article de Flash hebdo : PDF